Déjà plus de 4 434 élèves ont fait confiance à nos écoles du Val de marne.
Agence de Nogent RER 09 83 51 52 62

L’intelligence artificielle, ce copilote qui vous veut du bien !

es plus réticents désignent souvent la fiabilité comme le tendon d’Achille de la voiture autonome. Fait paradoxal, surtout lorsque l’on sait que l’intelligence artificielle est capable au contraire d’augmenter la sécurité sur nos routes. Explications. 

Rien qu’en 2014, on estime dans le monde à 1,25 million le nombre de morts dû à un accident de la route* (alcool, vitesse excessive…).

Et si l’intelligence artificielle était une solution à ce fléau ?

Avec l’IA, l’automobile caresse le rêve d’une route 100% fiable

Selon le cabinet GfK, les voitures autonomes pourraient éviter 90% des accidents de la route d’ici 2050. Concrètement, une voiture autonome embarque des capteurs, des caméras et un super cerveau électronique. L’analyse en temps réel de l’environnement de conduite permet alors d’anticiper les perturbations de trafic et les accidents. De plus, l’IA rend possible la communication entre chaque voiture, toutes les données recueillies sur la route seront entrecoupées entre-elles. Dans le futur, chaque collision pourra être anticipée. Comme l’ABS ou les airbags à leurs époques, l’IA est le prélude d’une sécurité plus fiable sur nos routes.

Une voiture évolutive pour prévenir les pannes

Pour bien comprendre l’IA en voiture, il faut la voir comme un logiciel très puissant. Celui-ci est évolutif et est mis à jour par les constructeurs afin que le véhicule autonome soit constamment à la pointe de la technologie. Par exemple, avec l’IA chaque pièce du moteur peut être examinée en temps réel afin de prévenir une défaillance technique. Une fois la normalisation de la voiture autonome actée, l’obsolescence automobile va peu à peu disparaître. 

L’intelligence artificielle surpasse la réaction humaine

L’IA dans une voiture s’appuie sur du « deep learning ». Autrement dit, celle-ci est capable d’apprendre à effectuer une action par elle-même. Une voiture autonome sait donc s’adapter aux événements ponctuels et sera capable, comme un être humain, d’effectuer des arbitrages sécuritaires lors de situations imprévues. Par exemple, la nouvelle Audi A8, premier véhicule de série équipé d’une autonomie de niveau 3 (« sans surveillance visuelle » sur certaines portions), met en œuvre des mécanismes de « deep learning » afin de prévenir le conducteur lorsqu’il doit reprendre le volant. Mais l’IA offre encore plus de perspectives, car contrairement aux êtres humains, des facteurs comme l’alcool, la fatigue ou l’énervement n’ont pas d’incidence sur ses décisions. 


Source : lefigaro.fr

Passer son permis avec Yack Conduite Club